REVUE DE PRESSE

 

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Extraits de presse :

La presse parle de l’album Brahms aujourd’hui et plus particulièrement cette semaine
de la pièce écrite par Graciane Finzi: Winternacht 
Classica 5 étoiles 
5 Diapasons Patrick Szersnovicz
"Les quatre brefs mouvements de Winternacht (Graciane Finzi) inspirés de l’Opus 108 apportent une salutaire touche de fraicheur, de lumière et de spontanéité"

Classic Agenda. Charles-Marie Mulot
« Dans Winternacht, Graciane Finzi reprend des fragments de thèmes de la 3 ème sonate de Brahms.
Son principe, extraire une cellule mélodique, la contracter ou au contraire l’étirer, la renverser, 
en quelque sorte la dénaturer, modelant le matériau musical suivant ses envies et son inspiration.
"La musique de Graciane est très libre et met en avant de belles couleurs sonores"

TELERAMA f f f f Sophie Bourdais
Et Graciane esquisse dans Winternacht (nuit d’hiver) une épopée miniature pleine d’images, tel ce paysage de neige, doux et feutré qui semble surgir du troisième mouvement "cantabile"

Audiophile Magazine Joël Chevassus
Graciane Finzi part de la sonate op.108.
Contrairement à ses pairs, la compositrice nous livre ici une oeuvre en quatre parties à l’instar de celle de Brahms. 
C’est un peu une vision impressionniste que nous présente la récente chevalière 
En reprenant quelques motifs de chaque mouvement de la troisième sonate 
pour arriver à une perspective assez sombre, confinant presque au désespoir. 
C’est pour moi la revisite la plus interessante des trois, surtout par son intensité dramatique

Zibeline Pierrette Canessa
Sur l’incandescente Winternacht de Graciane Finzi, ode imparable à la troisième sonate et à son sublime deuxième mouvement, il faudra impérativement préparer ses mouchoirs.






RESMUSICA

Edward Hopper mis en musique avec Graciane Finzi, Natalie Dessay et Claire Gibault

Le 29 novembre 2016 par Pierre Degott

Autour d’une vingtaine de toiles du grand peintre naturaliste, se déroule un programme essentiellement consacré à la musique américaine. Natalie Dessay, Claire Gibaultet le Paris Mozart Orchestra consacrent le mariage de la musique et de la peinture. Proposé dans le cadre du festival « La couleur des sons » monté en partenariat par l’Arsenal et le Centre Pompidou-Metz, le concert de Natalie Dessay, Claire Gibault et le Paris Mozart Orchestra se donne comme fil conducteur l’oeuvre du peintre Edward Hopper, connu pour ses scènes inspirées de la vie quotidienne de l’Amérique des années 1950. La pièce-maîtresse du programme est ainsi constituée des Scénographies d’Edward Hopper (2014) de Graciane Finzi, compositions orchestrales conçues autour de textes du poète français Claude Esteban, eux-mêmes un commentaire plus ou moins poétisé, parfois essentiellement factuel et descriptif, de sept toiles du grand peintre américain. L’intérêt du concept provient surtout de la subtile interpénétration entre la musique et la peinture, les sons de l’orchestre suggérant les signes plastiques et iconiques de l’oeuvre picturale, tout comme la couleur et le mouvement du tableau prolongent la beauté de la phrase et de la couleur musicales.

 

Resmusica, Michèle Tosi
La sonate Winternacht de Graciane Finzi possède une verve et une énergie considérable.
Elle attrape ici et là un bout de thème qu’elle utilise comme autant d’images subliminales, parfois reconnaissables.
A partir de ces éléments, sa sonate apparait tel un double, dont l’originalité n’a d’égal que la profondeur et l’invention.
L’oeuvre fascine par sa pâte sonore, la richesse de ses textures de ses harmonies .
Sa musique nous prend dans son mouvement, son intensité, ses états intérieurs successifs…

 

Resmusica, Pierre Degott

Edward Hopper mis en musique par Graciane Finzi avec Natalie Dessay et Claire Gibault La pièce maitresse du programme est ainsi constituée des Scénographies d’Edward Hopper de Graciane Finzi, compositions orchestrales conçues autour de textes du poète français.

Conçu autour de textes du Poète Français Claude Esteban.

L’intérêt du concept provient surtout de la subtile interpénétration entre la musique et la peinture, les sons de l’orchestre suggérant les signes plastiques et iconiques de l’oeuvre picturale, tout comme la couleur et le mouvement du tableau prolongent la beauté de la phrase et de la couleur musicales

 

 

 

La mort de Socrate à l’Opéra comique 
On ne saurait à priori  imaginer un sujet plus austère.
Pourtant au delà de l’incessante interrogation philosophique qui constitue le moteur  du drame, la musique de Graciane Finzi réussit à faire ressurgir toute la simple humanité de la situation,
la douleur essentielle de la perte d’un être aimé et dans la scène finale, à traduire la dimension mystérieuse de la mort .
Le traitement musical du texte fait alterner une sorte d’arioso très souple et d’une intelligibilité presque parfaite avec des passages en mélodrames  pour le protagoniste dont le compositeur
souhaitait ainsi mettre en relief certaines sentences par la nudité des paroles.
Les choeurs à bouches fermées qui concrétisent musicalement le silence et l’intériorité des disciples sont d’un très bel effet;
Christian Tréguier, simplement drapé de blanc incarne un Socrate très crédible, plein de sobriété et de noblesse, figure à la fois résolue et touchante
              
 En Concert. Revue mensuelle de la musique vivante.     Alfred Caron

Graciane Finzi met en opéra, « Le dernier jour de Socrate »
Avant de boire la ciguë, Socrate devise avec ses disciples et de ce qui l’attend dans l’au delà.
Finzi tient le public en haleine tel un monolithe sombre et compact dont  l’orchestre préserve la lisibilité. 
Le tout est sauvé par la  réellle sensibilité dramatique du compositeur.

La Croix. 1998   Bruno Serrou


L’ultime rendez vous. 
La mort est le le propos du « Dernier jour de Socrate » présenté en création mondiale
à l’opéra comique.
Le texte de Jean-Claude Carrière est d’une grande intelligence et joliment phrasé.
Quant à l’écriture musicale de graciane Finzi, elle se distingue d’abord par sa probité: pas le moindre effet, une rigueur de tous les instants, de la douceur et même de la tendresse dans sa déclamation, et une orchestration dont la transparence gêne en rien l’énergie
Crhistian Tréguier (Socrate) est formidable de  pésence, de musicalité,  d’émotion retenue.

Les Échos  1998   Michel Parouty.